
Bienvenue,
Salut, je m’appelle Jérémy, mais donné moi le pseudonyme d’Amaymonra, j’ai 34 ans et je vis à Lyon. Actuellement, je travaille comme ouvrier paysagiste, mais depuis quelques mois, j’ai pris la décision de changer de profession et de revoir plus largement mon mode de vie et ma façon de penser.
Depuis enfant, j’ai toujours ressenti le besoin de créer et d’inventer. Très jeune, je faisais déjà des constructions et des maquettes de monuments en papier pour passer le temps. Je m’imaginais de grandes histoires et je dessinais en essayant de reproduire différents objets. Je me souviens encore qu’à 8 ans, lors de la Coupe du Monde 98, j’avais créé un aéroport en papier avec des hangars montrant chacun les drapeaux des 32 nations participantes à la Coupe du Monde, le tout réalisé avec du papier, des crayons de couleur, une paire de ciseaux et de la colle.
Bref, c’est un exemple pour montrer que cette créativité a toujours été en moi. C’était amusant, je passais de super moments. Je vous laisse imaginer ma passion par la suite pour les legos et les Playmobil…
Venons-en à la partie scolaire. De manière globale, cette période de la vie est centrale dans le développement d’un enfant. Nous allons à l’école pour apprendre, progresser et étudier. Bien sûr, c’est ici que le bas blesse me concernant : j’étais une véritable bille en cours, la tête ailleurs. Les contraintes des devoirs, le stress des contrôles et la vérification des devoirs n’étaient pas toujours au rendez-vous ; soit je ne les faisais pas, soit je les terminais à la va-vite à 6 h du matin avant de commencer l’école. J’ai réussi en CP à cacher pendant 4 mois que je ne faisais aucun devoir à la maison ; bien sûr, j’ai fini par être attrapé. Je n’avais pas le goût pour la lecture ; toute activité éducative ou encadrante demandant de la rigueur était vouée à l’échec avec moi, car je me déconnectais très vite. Je ne sentais pas l’intérêt de certaines activités, hormis le sport qui représentait un véritable encadrement.
Bien entendu, arrivé au collège et par la suite au lycée, mes différentes errances en primaire ont créé un plus grand fossé entre moi et l’école. Je détestais cet encadrement, cette façon de faire et de penser. Je sentais cette obligation de me conformer à une manière d’être, d’agir ou même de penser. Ma réaction ? Provocation, entêtement, ne respectant pas les règles et cherchant toujours à contourner les potentiels problèmes.
Qu’est-ce qui m’a fait tenir ? Eh bien, le jeu vidéo. À l’époque, certains auraient dit que je m’étais enfermé dans une bulle (ce qui est en partie vrai). Ce contenu abrutissant, enfantin et qui occasionne une perte de temps… Vous savez, ce média, qui vous rend fou, vous détache de la société, vous marginalise et peut même conduire à des actes plus dangereux.
Aujourd’hui, la façon de penser a changé, mais à l’époque, je vous assure, les jeux vidéo, c’était le démon. Mais avouez aussi que pour certains parents, cela avait un côté diaboliquement pratique. Le démon est malin : il encourage l’enfant à jouer pour ne pas avoir à embêter les parents après une journée de travail ou simplement après une mauvaise journée. Un peu comme aujourd’hui avec Internet et les réseaux sociaux ! Le malin, je vous dis !
Alors ma passion, enfin mon « addiction » au jeux vidéos a commencer jeune avec la Game Boy et Pokémon rouge/bleu/jaune, ce qui à ouvert la boite de pandore, j’ai découvert avec le temps et encore aujourd’hui un univers a part entière, que je considère aujourd’hui comme le 8em art, cela veux dire que je place les œuvres vidéoludique dans la même catégorie que la musique, le cinéma ou encore l’art artistique, au niveau de Mozart, Van Gogh, Victor Hugo, Michael Jackson, Steven Spielberg, les frères lumières, Charlie Chaplin.

Je ne considère pas le jeu vidéo uniquement comme un moyen de divertissement, mais également comme une forme d’expression. Cet art intègre les sept formes artistiques existantes pour les mélanger, les remodeler, les réinventer et même en créer de nouvelles. Bien sûr, comme dans tout domaine artistique, il existe des contenus médiocres ou peu inspirés. Cependant, c’est justement cela que le jeu vidéo offre : une perspective riche avec divers points de vue. Ainsi, chaque contenu est finalement adapté à un moment précis, à une émotion ou à un désir particulier.
En fin de compte, il y en a pour tous les goûts et chacun peut y trouver son bonheur. Les expériences variées sont nombreuses dans ce domaine. C’est pourquoi je dis avec conviction que le jeu vidéo n’est pas nuisible. Au contraire, il offre l’opportunité de développer une plus grande ouverture d’esprit si l’on prend le temps d’explorer ses différentes catégories.
Arriver a l’âge adulte, et commençant ma carrière en tant que ouvrier paysagiste (on me dit dans l’oreille que cela est un beau métier), j’ai fait comme tout jeune adulte qui ce respecte après 3 ans de travail, un burn-out, logique n’est ce pas, au final après un an j’ai réussi a me remettre de cette état, cherchant a me réorienté dans une autre carrière, mais entre l’école qui m’avais un peu trop rebuter, et la pression de devoir reprendre une vie d’adulte normal, entre mon entourage, la société de l’époque, j’ai donc fait la chose la plus censé j’ai repris le métier d’ouvrier paysager, et cette fois je me donnerais a fond je développerais mes capacités et mon expérience dans ce domaine, appliquer dans cette résolution, je me suis ranger dans cette catégorie de vie la même vie que M. tout le monde, attention je respecte cette état d’esprit, celui d’être guider, en sécurité, protéger, et de pouvoir vivre une vie sans réel pression.
Mais je n’arrive pas a me conformer a cette idée personnellement, pour me sentir vivant j’ai besoin de créer, d’imaginer, je veut prendre des risques, quitte a ce que cela échoue, peu importe je veux vivre a fond le moment présent, et j’avoue que cette monotonie, boulot, dodo n’est pas faite pour moi, je suis un electron libre et je l’ai toujours été, mais le monde du travail, celui de l’adulte, la case dans laquel ont vous a ranger, catégoriser plus jeune, ma coller a la peau depuis le début de cette vie d’adulte et me voici après 14 ans de travail acharner, a me donner a fond, réprimant la plupart de mes besoins et désirs, je vous le donne dans le mille un second BURN-OUT, je croyais en avoir fini avec sa, et ben non, suis-je fragile ? mal adapter ? idiot ?reveur ? borner ?
Je suis tout a la fois, j’apprends donc a me connaitre, a réaliser qui je suis et pourquoi je suis, aujourd’hui j’ai fait le travail nécessaire et meme si il reste encore du chemin a parcourir, je connait maintenant mon véritable but et objectif.
Bref comme le dit une citation « Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre , il passera toute sa vie à croire qu’il est stupide »
Amaymonra